Knowing Operative Zone for Independant Wisdom Movement (KOZ 4 IWM)

by Jean-Baptiste Lockhart Michaut alias jbTrendy & Ex jeanTox

jeudi 27 février 2014

Jean-François Kahn: «Le système médiatique est en train de devenir fou»

Jean-François Kahn dénonce une cassure entre l’opinion de la population et celleJean-François Kahn dénonce une cassure entre l’opinion de la population et celle des journaux. © Bruno Klein
25/02/2014


MÉDIAS • Le journaliste Jean-François Kahn critique, dans son livre «L’horreur médiatique», une presse française qui gonfle certaines affaires et qui exerce sur le public une «dictature des émotions». Interview.
Avant de créer les deux magazines «Marianne» et «L’Evénement du jeudi», Jean-François Kahn a été journaliste au «Monde», à «L’Express», à Europe 1 et à Antenne 2. De sa longue expérience au sein de la presse française, il a tiré plusieurs essais. Dans «L’Horreur médiatique», paru récemment chez Plon, le journaliste français critique une presse qui exerce sur le public une «dictature des émotions».
- Les mêmes analyses, jugements,formules ou expressions sont utilisés trente fois par jour dans différents journaux, dites-vous. Est-ce cela «l’horreur médiatique»?
Jean-François Kahn: Oui, elle se résume en un mot, l’uniformisation, voire même l’«hystérisation». Je m’explique. On a l’impression que depuis 30 ou 40 ans, depuis qu’il n’y a plus de grandes perspectives idéologiques, depuis que les journaux ne présentent plus des alternatives différentes, qu’ils ne portent plus une utopie (tel est républicain, tel autre libéral, socialiste ou monarchiste…), on a donc l’impression que, depuis, le pluralisme s’est considérablement restreint. Il laisse ainsi un vide comblé par une hystérie médiatique.
Le moindre fait divers, le moindre geste politique sont démesurément amplifiés et montés comme une mayonnaise par la presse. D’où ce sentiment chez le public d’une insupportable superficialité, et surtout d’une dictature des émotions. J’ajoute que cette hystérie est renforcée d’une part par les réseaux sociaux qui incitent à l’emballement. Et d’autre part par les chaînes d’info en continu qui doivent exploiter à mort le moindre incident.
- Un exemple?
Je me permets de citer ici un exemple français: l’affaire Leonarda, cette jeune fille rom que le gouvernement a expulsée il y a quelques mois parce qu’elle était en situation irrégulière. Avec le recul, on voit comment cette affaire a été archigonflée par les médias, comment on en est venu à la comparer aux rafles des Juifs en France durant la Seconde Guerre.
- Dans votre livre, vous montrez comment cette uniformisation envahit l’espace médiatique français. La voyez-vous également dans la presse suisse?
En Suisse, l’uniformisation est relative. Le fédéralisme y est pour quelque chose. La presse helvétique reste très diversifiée; vous avez celle de Genève, de Fribourg, de Bâle, de Zurich… Bref, ce n’est pas comme en France où tout est centralisé, où tout se passe à Paris (ndlr: lire ci-dessous). J’ajouterai que même si dans la presse helvétique on rencontre parfois une unité de ton, l’hystérisation ne va jamais aussi loin qu’en France.
- Et pourquoi?
Parce que c’est une question de culture, de mentalité. La vie politique en France est vécue comme une guerre civile, ce qui n’est absolument pas le cas en Suisse. Prenez l’affaire Dieudonné. Elle a provoqué chez nous une bagarre dans une boutique de vêtements entre trois jeunes gens d’extrême droite et trois autres d’extrême gauche. La confrontation a conduit à la mort de l’un d’eux. A la suite de ce drame, on a eu l’impression pendant quatre jours qu’une immense vague de fascisme déferlait sur la France.
- Votre livre commence par ces trois mots «Vous les médias!», interjection très souvent lancée à la face desjournalistes, écrivez-vous. Que cache-t-elle au juste?
Une accusation sourde. Vous les médias, constituez une caste, un ordre aristocratique qui ne vit pas la vie des lecteurs. Voilà ce que ces trois mots signifient. En clair, ils dénotent une cassure entre l’opinion du commun des mortels et celle serinée par les journaux. Le lecteur a l’impression qu’on le méprise, qu’on ne tient pas compte de ses requêtes.
J’irai même plus loin en vous disant que le populisme que l’on voit croître aujourd’hui en Europe est nourri involontairement par une presse qui ne laisse pas d’espace aux revendications d’une certaine société, celle dite «d’en bas». Une société sans porte-voix médiatique, qui donne ses voix aux dirigeants populistes.
- Que pensez-vous des réactions de la presse suisse, suite au référendum du 9février sur l’immigration?
Je préfère vous donner mes impressions sur les réactions de la presse française qui éclaireront mieux ma pensée. Je vous parlais d’hystérisation. Eh bien la presse française s’est beaucoup excitée au sujet du vote suisse qu’elle a présenté comme une grave dérive xénophobe. Or je puis vous assurer qu’avec le même référendum conduit en France, 60% de la population aurait voté contre l’immigration massive.
- Il y a «cassure» disiez-vous. Dans ce cas, les médias ont-ils encore une influence sur l’opinion publique?
Ils en ont de moins en moins. Ou plutôt, ils en ont a contrario. Il suffit, par exemple, qu’un candidat à la présidence d’un pays soit défendu ardemment par la presse pour qu’il perde les élections (comme c’est le cas en France); il suffit qu’un écrivain soit qualifié de médiatique pour qu’il ne vende plus ses livres. Bref, il y a un rejet pour cause de méfiance.
- Vous critiquez cet «ordre aristocratique» dont vous faites partie. Il y a de l’amertume dans votre livre. Avez-vous des regrets?
Je ne pense pas être amer, non. Je montre tout simplement que le système médiatique est en train de devenir fou (pour toutes les raisons que j’ai évoquées) et qu’il rend ainsi la société folle.
*****

Des journalistes en vase clos

«L’exemple de la France est typique, confie Jean-François Kahn. Chez nous, il n’y a plus de clivage. La presse ne s’entre-déchire plus sur les problèmes économiques, politiques ou sociaux. Bon, quelques rares sujets divisent encore, comme l’immigration chez vous, ou ailleurs en Europe. Mais en général le consensus règne. Comment voulez-vous qu’il en soit autrement? Vous avez sur chaque sujet trois journaux qui font l’opinion: «Le Monde», «Le Figaro» et «Libération».
Tous les journalistes qui y travaillent vivent dans la même ville: Paris. Ils ont suivi le même cursus, ils fréquentent les mêmes lieux, lisent les mêmes livres, s’entassent les uns sur les autres, s’imprègnent de leurs idées respectives et finissent par penser pareil. Ce qui n’est pas le cas en Suisse, en Italie ou aux Etats-Unis, par exemple.
Bon nombre de ces journalistes ont commencé à la gauche de la gauche et ont fini par se rallier au néolibéralisme. A force d’osmose, ils se sont confectionné une sorte d’idéologie syncrétique. Le comble, c’est que ce qu’ils disent dans leurs journaux respectifs est repris le matin par la radio et le soir par la télévision. Comment voulez-vous après ça que la route ne soit pas barrée à la diversité?!»
*****
GHANIA ADAMO

mercredi 26 février 2014

Vive la banqueroute ! - Entretien avec Frédéric Lordon

SCIENTOLOGY: THE EX-FILES (FULL DOCUMENTARY) !!!

Well I've been in the Sea Organisation for about 5 years in total in 4 different structures and approached Tommy Davis at some point. Though I have not been directly in contact with the other people interviewed in this video I witnessed myself similar abuses and can to that extent testify that these are sadly very likely to be true !!! jblm

mardi 25 février 2014

INXS - In Their Own Words - Sunday Night Special !!!

A terrific episode of Sunday Night dedicated to INXS featuring interviews with all band members and also with their manager Chris Murphy.



lundi 24 février 2014

Etienne CHOUARD Les gros malins de la théorie du Complot !!!

Étienne Chouard est un enseignant en économie et en droit dans un lycée et un blogueur français. Depuis lors Étienne Chouard, qui déclare « chercher la cause principale des injustices sociales»  étudie différents régimes démocratiques et constitutions. Il défend notamment le système du tirage au sort et soutient qu'une nouvelle assemblée constituante devrait être basée sur cette méthode. Il dénonce fréquemment le "sabordage monétaire" que constitue selon-lui l'abandon de la création monétaire publique vers les banques privées. Dans une moindre mesure il soutient également l'idée du revenu de base inconditionnel. (Wikipedia)


dimanche 23 février 2014

Le traité transatlantique en 10 minutes !!!


TTIPAvez-vous entendu parler du traité transatlantique ?  Il est vrai que 2014 est une année à l’actualité chargée et que beaucoup de sujets sont sources de discordes profondes. Pourtant, se prépare en toute discrétion, l’un des engagements politiques et économiques les plus importants. La perspective d’une union intercontinentale se renforce avec le Partenariat transatlantique pour le commerce et l’investissement (PTCI) qui est une pierre de plus à l’édifice entrepris par l’Organisation mondiale du commerce (OMC).  L’Union européenne négocie en totale opacité des traités juridiques avec le Canada et les Etas-Unis. Cela illustre parfaitement le fonctionnement de l’Union Européenne et plus généralement la façon dont sont prises des décisions qui nous engagent, qui vous engagent. Le fait que certains décident pour d’autres, sans même les consulter, n’est-ce pas là une cause de discordes profondes ?
Par ailleurs, le traité transatlantique se construit à partir de l’idée économique d’une vertu de l’homme liée à une croissance toute virtuelle. Une société économique qui se base sur la croyance d’un monde aux ressources infinies alors même que la finitude du monde mobilise déjà.
Cet engagement politico-économique à pour objet d’intensifier notre modèle économique. La mécanique de celui-ci répartit les richesses via le principe de Pareto, mais pas seulement. C’est-à-dire une répartition de l’enrichissement en faveur de ceux qui possèdent le plus. À contrario pour ceux qui ne possèdent rien dans ce modèle économique, il n’y a pas de limite dans la dépossession. La répartition des richesses, des ressources, la subsistance, ne sont-ils pas là encore des sources de discordes profondes ?
Quelques courageux anonymes proches des négociations ont exfiltrés des éléments qui permettent un peu de comprendre les engagements du traité transatlantique. Cette vidéo présente de manière non exhaustive, très partageable, quelques éléments de ce que l’ensemble des citoyens de chacun des États ne décide pas.



Pour aller plus loin, il est possible d’étayer ses connaissances sur l’Union européenne avec le blog de Raoul Marc Jennar (http://www.jennar.fr/) ainsi que celui de Magalie Pernin (http://contrelacour.over-blog.fr/).
Il est possible également de se mobiliser auprès des engraineurs, un collectif citoyen (www.collectif-lesengraineurs.com/) ou encore ATTAC (france.attac.org/). De même, vous pouvez sensibiliser directement vos élus locaux.
Aussi, puisque le traité transatlantique montre qu’il est possible de redéfinir des règles qui ont un impact mondial, vous pouvez  essayer de construire une société meilleure avec les colibris par exemple (www.colibris-lemouvement.org) Enfin pour que vous puissiez décider vous-même de la société dans laquelle vous voulez vivre, vous pouvez rejoindre le mouvement de la démocratie directe (www.le-message.org).
Ben

samedi 22 février 2014

L’Europe finance un projet informatique de censure globale !!!

europe baillonnée

Hallucinant : Project PHEME. 

C’est un article du Parisien  intitulé « Des chercheurs veulent passer les réseaux sociaux au détecteur de mensonges » qui vend la mèche du dernier gros projet informatique financé par l’Union Européenne, la plus belle invention démocratique du siècle et comparable à terme à l’Union soviétique.
« Des chercheurs universitaires travaillent à l’élaboration d’un système capable d’identifier automatiquement les fausses informations qui se répandent comme une traînée de poudre sur les réseaux sociaux. »
« Les réseaux sociaux sont une mine d’or en termes d’informations et d’expressions citoyennes pertinentes mais peuvent aussi être utilisés pour répandre des rumeurs. Pour faire le tri, des chercheurs planchent sur une sorte de «détecteur de mensonges» actif sur Twitter ou encore Facebook. Un projet ambitieux qui, selon le New York Times, pourrait se concrétiser dans dix-huit mois. »
« Ce programme de «fact cheking» (vérification des faits en direct) automatique, baptisé «Pheme», devrait pouvoir identifier la fiabilité des sources des informations communiquées grâce à un algorithme complexe. Un travail titanesque que coordonne la faculté de Sheffield, dans le nord de l’Angleterre, avec quatre autres universités et quatre entreprises. Financé par l’Union européenne, ce projet est mené sur trois ans. »
« Selon la directrice de l’étude, Kalina Bontcheva, l’objectif est de vérifier en temps réel les informations pour permettre aux gouvernements, services de secours, médias et entreprises de répondre plus efficacement à des rumeurs infondées.
Le projet doit identifier quatre types d’informations peu fiables : les spéculations, la controverse, la fausse information et la désinformation. Les chercheurs comptent utiliser trois facteurs pour établir la véracité des données : l’information en tant que telle, un système de vérification via des sources fiables et la diffusion de l’information. Le résultat de cette recherche pourra apparaître sur l’écran de l’utilisateur. »
Alors le côté « attention l’information que vous consultez est une rumeur » pourrait presque sembler assez inoffensif et je suis persuadé que l’on nous vend toute cette affaire comme étant un immense progrès pour la « véritable » information sur Internet, ce qui permettra de sécuriser les positions dominantes des médias traditionnels de plus en plus remis en cause par la blogosphère.
Rien n’empêchera après d’utiliser ce type de système pour bloquer des informations, bloquer des sites Web, bloquer des informations gênantes.
Ce type d’outil par son ampleur (tout le Web) et son fonctionnement en temps réel n’est rien de moins que le plus important logiciel de censure mondial. Même la Chine n’y a pas pensé. Seule l’Europe a l’esprit assez tordu pour penser et financer ce genre de projet.
Retenez bien. Projet Pheme. Internet ne sera bientôt plus libre, et lorsque vous lirez le Contrarien (si c’est encore autorisé) apparaîtra sur votre navigateur le message : « Attention ce site présent des contenus subversifs. Votre adresse IP ainsi que votre ADN ont été transmis à la police de la pensée »… signé le ministère de l’Amour.
Charles SANNAT

À propos de l'auteur

Charles Sannat est diplômé de l'Ecole Supérieure du Commerce Extérieur et du Centre d'Etudes Diplomatiques et Stratégiques. Il commence sa carrière en 1997 dans le secteur des nouvelles technologies comme consultant puis Manager au sein du Groupe Altran - Pôle Technologies de l’Information-(secteur banque/assurance). Il rejoint en 2006 BNP Paribas comme chargé d'affaires. Il est actuellement le directeur des études économiques d'AuCOFFRE.com et rédacteur du Contrarien Matin, 'Décryptage quotidien, sans concession, humoristique et sarcastique de l'actualité économique'.

2 commentaires

  1. [...] Charles SANNAT [...]
  2. [...] Charles SANNAT [...]

vendredi 21 février 2014

Le mensonge universel commenté par P. Jovanovic !!!

Kiev : Pourquoi BHL n'a pas vu de néo-nazi place Maidan ?

Pour bien comprendre l'enjeu de la visite de Bernard Henry Levy place Maidan, il faut d'abord éclaircir quelques idées et quelques liens afin de comprendre pourquoi les néonazis sur la place Maidan ne l'ont pas sifflé, ou pourquoi il n'en a pas vu. Cela permettra aussi de comprendre que sa présence n'a servi qu'à une et une seule chose, recadrer les médias occidentaux et notamment français dans le contexte d'une “révolution pacifique du peuple” et non de ligues plus ou moins violentes et d'essence nazi, ce que nos médias mainstream n'ont su dissimuler longtemps après les événements de la rue Grushevskogo et n'ont que trop traité depuis. Cette visite du BHL était cela, remettre les médias occidentaux dans le droit chemin au lieu du secteur droit.
On dira peut-être que c'est en émissaire officieux de l'Otan qu'il est venu, d'autant plus qu'une délégation est en ce moment à Lviv pour officiellement préparer des exercices cet été entre l'armée ukrainienne et des troupes de l'Otan. Cette option semble toutefois avoir peu de chances concrètes puisque l'armée à fait savoir récemment qu'elle était entièrement derrière un président légitimement élu.

Alors pourquoi ne s'est-il pas fait sifflé par les néo-nazis sur la place Maidan ? Nous aurait-on menti, et il n'y aurait pas de néo-nazi mais un vrai peuple révolutionnaire ? Pour en être sur il faut savoir de quoi est constituée cette foule de 70000 personnes. Qui sont-ils ? 

Commençons par les ONG :
Daniliuk (2ème à droite) était d'abord à la tête d'une de 
l'une de ces ONG: All-Ukrainian Center for Business 
Support, se retrouvant à tout le meeting d'opposition, 
il a géré fin janvier la prise des ministères, pour ensuite
s’exiler en Angleterre ou il a la citoyenneté.
 
Nous savons que les ONG se sont multipliées en Ukraine depuis la chute de l'URSS et spécialement ces dernières années. Le site d'information ric.ua nous apprend qu'il existe en Ukraine 400 fonds ayant un status international dont plus de 350 organisations internationales dans le domaine de l'humanitaire. De plus selon les données du fond Fullbright, depuis 1992 les programmes de fondations occidentales ont été suivi par plus de 20000 activistes ukrainiens, le plus souvent boursiers, dans les organisations sociales et politiques. Rappelons qu'en 2011, les États-Unis ont multiplié par 2 le financement pour les ONG sur le territoire ukrainien. Cela s'est traduit par l'intensification des processus d'association des ONG dans des structures ramifiées sur la base d'un réseau unique. De ces ONG ont été enfanté nombre de mouvements qui sont très actifs, citons par exemple le mouvement social “nouveau citoyen” ou le micro parti “alliance démocratique”.
Ils envoient tous leurs membres place Maidan. Difficile d’estimer leur nombre mais on peut facilement penser à un quelque chose à 5 chiffres.

Les partis d'opposition :
Manifestation commune de l'opposition
 juin 2013. On voit bien l'Udar et 
 Batkivchina cotoyer Svoboda
.Svoboda peut varier de drapeau 
selon l'occasion
Il faut compter dans la foule tous les encartés de l'improbable troïka (Udar, Batkivchina et Svoboda). Cette troika d'opposition ne s'est pas constituée sous l'influence d'euromaidan ou après le refus de signer les accords avec l'ue. Non cela fait des mois et des mois qu'ils font cause commune contre le gouvernement. (Ils sont bien plus que ces trois là d'ailleurs mais ce sont les trois plus gros). On pourrait trouver étrange ces mariages mais puisque prévaut l'intérêt commun des mécènes de ses partis, tout s'explique aisément une fois que l'on sait qui sont ces mécènes. Et donc chacun de ces partis appelle ses ouailles à venir sur la place Maidan le week-end pour faire de belles photos.

Il faut y ajouter la foule de la semaine parce que la semaine les gens vont travailler, et ne viennent que le week-end pour les actions médiatiques d'image en nombre.

Les troupes de « self-défense » :
Parubi au micro, député de l'opposition, 
représentant des troupes de self-défense
La semaine, on ne voit que des troupes de “self-défense” comme ils se nomment avec casque cagoule, batte, ou marteau ou hache, bouclier, ils prétendent d'ailleurs être 12000, on peut largement diviser au moins par 2 ce chiffre voire par 3. C'est le moyens trouvé par l'opposition pour garder des gens qui par exemple n'avait pas d'occupation comme sur la photo le fils d'un petit oligarque que nous reverrons bientôt ou des étudiants loin d'être vraiment guerrier. Il faut donc comprendre que depuis bientôt trois mois, il y a entre 3 et 5000 personnes en permanence sur la place, que l'on nourrit, chauffe, loge et divertit.


Les démunis :
Évidemment parmi ces milliers de personnes viennent aussi les démunis car ils ont de la nourriture gratuite. Voilà qui fait encore baisser le nombre de personnes présentent pour la liberté européenne de BHL ou pour la chute de Janukovitch dont rêve l'opposition.

alors qui sont-ils ?
En somme, imaginez-vous l'UMP, le FN et le FDG (pour l'importance des partis et non pour leur couleur politique, difficile à comparer avec l'Ukraine) appelant à aller sur les Champs Élysée le week-end pour faire tomber le gouvernement. Sachant qu'il y a parmi eux pas mal de casseurs ainsi que des sans abris, est-ce que de voir 70000 personnes, comme ont annoncé les médias, serait un succès ? Est-ce que cela pourrait légitimer une démission de Hollande ? A l'évidence non puisqu'avec 2 millions de citoyens dans les rues l'an dernier, il n'a fait semblant de rien. Et l'on a d'ailleurs pas entendu la « communauté internationale » appeler à la démission de Hollande ou à une révolution en France ! Donc là, on a 70000 personnes et c'est sensé être le peuple, une révolution, et avec les USA, l'UE, notre gouvernement et maintenant BHL qui soutiennent cela en demandant jusqu'à la démission de Janoukovitch. C'est GENIAL !

Drapeau européen, ukrainien et banderiste
sur un même mat mors du discours de BHL
Banderistes présent :
Maintenant voyons pourquoi les troupes d'extrême droite réputées fortement antisémites n'ont pas sifflé BHL et pourquoi BHL a au contraire voulu valider leur inexistence..alors qu'il n'a pu ne pas remarquer les drapeaux banderistes ou de svoboda lors de son discours sur scène notamment accrochés sur le même mat avec celui européen qu'il feint de tant chérir..
ou si vraiment c'est de l'ignorance il peut s'instruire par ici ou ici ouTiagnibok à pris la 5ème place 2012 de l'antisémitisme. De Même vous n'avez qu'à taper le mot « maidan » sur un moteur de recherche accompagné d'un des suivant, neo-nazi, svoboda, pravi sektor, spilna prava, una-unso ou upa et vous verrez les images qui vont apparaître. Ou encore simplement cet article ou cette vidéo autour de 3m50 qui se passe dans le conseil régional de Rovno au main des "révolutionnaires".
Toutes ses troupes sont plus ou moins liées à Svoboda pour les plus nombreuses (mais on a assisté à des échauffourées entre des membres de Svoboda etd'autres groupes à Lvov par exemple ou même dans la maison de l'Ukraine, base du commandement des « manifestants pacifiques ».
C'est dire à quel point ils ne sont pas d'accord entre eux et difficilement maîtrisables. Mais ils savent très bien obéir lorsqu'il s'agit de marcher au pas pour épater les médias, impressionner le gouvernement et faire croire qu'ils sont des légions entières. Admirez cette démonstration de force :
 
Eugène Nouchik à droite sur la capture,
sur scène derrière BHL

Elle est gérée admirablement avec une bonne coordination entre mise en scène et instructions militaires. L’œil artistique de Eugène Nouchik avec une grande expérience dans la présentation de spectacle n'y est certainement pas pour rien. Sa présence journalière à l'euromaidan doit certainement lui rappeler la « révolution orange » ou déjà il occupait une place sur l'estrade. Mais revenons à l'essentiel, Svoboda, car depuis quelques temps déjà n'est plus diabolisé par le reste de l'opposition et tous collaborent ensemble.

Un des mécènes de Svoboda :

Il faut maintenant dire que ce n'est pas une première en Ukraine qu'une personnalité de confession juive comme l'est BHL minimise l'antisémitisme de Svoboda. C'est donc le moment de parler du plus grand milliardaire juif ukrainien comme l'appelle la presse dans cet article de 2010« Le plus grand milliardaire ukrainien Igor Kolomoisky d'origine juive (6,5 milliard de dollars) et de nationalité également israélienne est le président de la communauté juive unie d'Ukraine et du Conseil des communautés juives en Europe.. » et occasionnellement l'inventeur du parlement juif européen selon Cukierman, sans que cela ne fasse l'unanimité au sein de la communauté.

Ainsi, Kolomoisky est un grand oligarque et possède une liste impressionnante d'affaires et notamment des médias ukrainiens ainsi que « globaux ». Depuis 2008 le politologue Taras Bezerovets dit que l'oligarque a sponsorisé Svoboda de façon « stable ». Et même chose de la part du leader communiste ukrainien Piotr Simonenko en mars 2009 au sujet des élections au conseil régional de Ternopil.
Puis ce Kolomoisky tient des propos en 2010 qui font grand bruit et notamment que Svoboda « n'est pas aussi extrémiste qu'on veut bien l'entendre ». Il prétend que plus Svoboda aura de vote et plus il ira vers le centre de l'échiquier politique. Andrei Liienko pour Svoboda, en décembre 2010, envoie un message de démenti sur la dé-radicalisation du parti, adressé à « Kolomoisky, et à tous les oligarques bienfaiteurs de Svoboda ».
Mais Kolomoiski n'est pas le seul à trouver dans Svoboda des utilités.C'est même en Israël, que l'on va en trouvercomme le rapporte le site des juifs de Kiev. On y lit : La « maison de David », organisation sociale sioniste israélienne, cite facilement les mots d'Oleg Tiagnibok, quand il dit qu'il est prêt à prendre Israël en exemple pour la construction d'une Ukraine nationaliste.
Garik Mazor, un activiste de la maison de David dit : «  le parti national ukrainien Svoboda, contrairement à nos amis libéraux internationalistes apparaît comme un allié indéfectible d'Israël et soutient publiquement le sionisme ».
Il apprécie également la position de principe de Tiagnibok contre les ennemis d'Israël.
Notons tout de même que cette position, comme celle de Kolomoisky, ne fait pas l'unanimité au sein de la communauté juive.

Conclusion :

Voici donc quelques uns des amis de Svoboda qui peuvent expliquer la perte localisée d'acuité sensorielle à l'antisémitisme du philosophe français. Ayant mis trois jours pour écrire cet article. J'en arrive à la conclusion, qui était déjà dans l'introduction, et l'on m'a déjà fait savoir que le but recherché était atteint. Les journaux français ont déjà sciemment oublié que la majorité des groupes actifs sur la place Maidan sont violents d'idéologie néo-nazi clairement affichée. On peut aussi parier qu'aux prochaines images rapportées, ce seront les «néo-scouts » au foulard jaune autour du coup qui seront mis en avant, regardez plus haut comme ils sont braves et mignons ! Ceux là, au besoin, on pourrait même leur confier sa grand mère. En attendant les armes continuent d'affluer vers Kiev et la police en saisie de plus en plus fréquemment. Des néo nazi russes sont également arrivés! On leur donne une tribune ou il ne sont pas la bête méchante, alors ils auraient tort de s'en priver.. Et donc tout cet article se résume en une seule phrase : voilà notre presse nationale revenue au centre de la voie après une fugue inappropriée du côté de l'information un peu plus juste; elle a rebondit sur le garde-fou qui l'a empêchée de tomber dans le précipice de la vérité.


Gigi Houille

jeudi 20 février 2014

Le Mossad impliqué dans la planification et l’exécution du 11 Septembre ?

Publié le : jeudi 20 février

Les récentes révélations publiées sur le site Press TV, sur le New York Post et Veterans Today ont changé l’histoire.
Il s’agit d’une histoire simple : deux membres du Congrès ont eu l’autorisation de lire le rapport d’enquête du Congrès sur le 11 Septembre, et cette fois-ci en incluant les parties que le président Bush avait fait enlever. Les deux membres du Congrès ont explicitement déclaré que les pages censurées du rapport font porter l’entière responsabilité de l’organisation et de l’exécution des évènements du 11 Septembre sur un ou plusieurs services de renseignements étrangers, pas sur des « terroristes ».
Le rôle individuel du président Bush, en dissimulant certains passages du rapport, a clairement été de protéger les réels coupables du 11 Septembre et de pousser les États-Unis non seulement dans deux guerres folles mais aussi dans des agissements draconiens contre le gouvernement des États-Unis lui-même.

La NSA et le coup d’État du 11 Septembre orchestré par Bush
Le 11 Septembre fut un coup mené contre la Constitution américaine. Des rapports supplémentaires sortis cette semaine [23-28 décembre 2013, NDLR] éclairent les raisons pour lesquelles Bush a menti au peuple américain, au Congrès, à nos militaires et nos alliés.
« Le directeur du renseignement national d’Obama, James Clapper, a déclassifié de nouveaux documents qui révèlent comment on a d’abord donné le feu vert à la NSA pour commencer à accumuler le gros des données des communication dans la chasse aux terroristes d’Al-Qaïda après le 11 Septembre [1]. L’administration du président Barack Obama a pour la première fois confirmé publiquement “l’existence d’activités de rétention des communications autorisées par le président George W. Bush” comme celles, nombreuses, des métadonnées Internet et téléphone, au sein du programme TSP [Terrorist Surveillance Program – Programme de surveillance antiterroriste, NdT [2]].
Ces révélations font partie de la campagne que Washington mène auprès des médias au sujet des programmes tenus secrets pour justifier les activités de surveillance de la NSA [National Security Agency – Agence nationale de la Sécurité, NdT], qui font suite aux divulgations faites en masse par Edward Snowden, ancien consultant de la NSA. Clapper a expliqué samedi que le président George W. Bush a d’abord autorisé l’espionnage en octobre 2001, quelques semaines à peine après les attaques du 11 Septembre [3]. »
Nous pouvons prouver que Bush est coupable, entièrement, criminellement, parce qu’il a dissimulé les pistes menant aux responsables directs des attentats du 11 Septembre.

L’AIPAC derrière Bandar, Bush « jeté aux fauves »
Encore plus effrayant : les articles publiés cette semaine dans le New York Daily News de Rupert Murdoch, écrit par Paul Sperry, un membre de l’Institut Hoover (think tank, Ndt) et de l’AIPAC [American Israel Public Affairs Committee – Comité américain pour les affaires publiques israéliennes, NdT], accusent non seulement le prince Bandar d’Arabie Saoudite d’être le cerveau derrière le 11 Septembre, mais y associent également Bush [4].
En fait, tout le dispositif de l’AIPAC, la plus grande organisation de lobbying de de Washington, a permis de sortir « l’artillerie lourde » pour empêcher – actuellement – le Congrès de faire pression contre la parution du vrai rapport [5]. Serait-ce parce que le vrai rapport accuse Israël, et pas l’Arabie Saoudite, et que l’AIPAC veut que l’histoire Murdoch/Sperry reste d’actualité ?

Le mythe Ben Laden s’effondre
Le vrai rapport, qualifié de « choquant » par les législateurs, qui ont demandé au président Obama de le déclassifier dans son intégralité, prouve qu’il n’y a pas eu de participation d’Al-Qaïda, qu’il n’y a eu aucune raison d’envahir l’Afghanistan ou l’Irak, ni de poursuivre l’agent de la CIA, le colonel Tim Osman, également connu sous le nom d’« Oussama Ben Laden ».
En fait, l’ambassadeur Lee Wanta [6], ancien chef des services secrets de la Maison Blanche et inspecteur général du département de la Défense sous Reagan, a mentionné des réunions auxquelles il a assisté entre des hauts responsables, des personnages clefs du gouvernement, et « Ben Laden ». Réunions tenues à Los Angeles comme à Washington DC, alors que les États-Unis étaient censés le rechercher.
Pour Wanta, qui était présent lors de ces réunions :
« Dès le début des années 90, Ben Laden, qui souffrait d’une maladie des reins à un stade avancé, a été envoyé par avion dans un établissement américain du golfe persique. De là, Ben Laden s’envola pour Los Angeles, atterrit à l’aéroport de l’Ontario, fut reçu par Albert Hakim, le représentant de Bush, Ollie North (libéré sous caution en appel), l’amiral William Dickie, l’avocat Glen Peglau et le général Jack Singlaub, un des créateurs de la CIA. Hakim était le représentant personnel de Bush et responsable de l’ensemble du projet. “Bud” McFarlane, une personnalité liée au scandale de l’Irangate, gracié par le président Bush en 1992, faisait aussi partie du groupe.
Ben Laden a ensuite quitté Los Angeles pour Washington DC. Là, il séjournait à l’hôtel Mayflower. Les réunions se déroulaient au Metropolitan Club de Washington. L’avocat Glenn Peglau logeait au Metropolitan. Alors qu’il y était, la chambre de Peglau a été cambriolée et des objets ont été subtilisés. À aucun moment n’a été enregistré, classifié ou pas, la dissolution de ce “groupe de travail” ni la fin du statut d’Oussama Ben Laden en tant qu’agent du gouvernement américain. En 2001, la dernière déclaration officielle d’Oussama Ben Laden niait une quelconque participation dans les attentats du 11 Septembre. Aucun document classifié ne fait le lien entre Ben Laden et le 11 Septembre ou ne le cite comme “espion détaché de la CIA” [7] ».
Quel est le vrai 11 Septembre ?
En 2007, le FBI envoya une équipe à Bangkok pour un entretien avec Dimitri Khalezov, un ancien Soviétique spécialiste des renseignements nucléaires. Khalezov informa le FBI que le matin du 12 septembre 2001, il avait assisté au petit déjeuner à un rassemblement avec Mike Harari, chef des opérations du Mossad, et son fils, ainsi que d’autres agents israéliens [8].
Khalezov rapporta au FBI que ce rassemblement avait eu lieu pour célébrer les attentats du 11 septembre, non pas comme Netanyahu l’avait dit, comme un « heureux hasard pour Israël » mais comme un attentat du Mossad contre les États-Unis. Lors de cette réunion, Harari revendiqua son rôle lors de l’attentat à la bombe d’Oklahoma City. Selon Khalezov, Harari cherchait à gagner ses faveurs afin qu’il rejoigne leur groupe pour une opération à venir, un attentat à Bali, programmé pour 2002.
Le 12 octobre 2002, un énorme dispositif d’explosifs dévastait presque un kilomètre carré et demi de l’île et faisait 202 morts. On accusa un groupe islamiste, non seulement comme pour le 11 Septembre, mais également comme auparavant à Oklahoma City.
Khalezov raconta aux agents du FBI qu’Harari prétendait que des armes nucléaires avaient été utilisées pour faire tomber les tours jumelles le 11 septembre. Harari ajouta qu’il avait en sa possession un missile de type « missile de croisière », un « Granit » soviétique pour l’attentat sur le Pentagone, acheté grâce à Victor Bout [9], le « Lord of War » joué par Nicholas Cage dans le film du même nom.
Bout, qui habite à Bangkok avec Harari et Khalezov, fut extradé aux États-Unis sur inculpation classée top secret, accusé d’avoir fourni le missile téléguidé utilisé sur le Pentagone le 11 septembre. Bout fut arrêté à Bangkok en 2008, peu de temps après la visite du FBI. Il fut officiellement reconnu coupable de fournir des armes aux rebelles en Colombie, activité à laquelle il participait depuis longtemps pour la CIA, partenaire de son trafic d’armes depuis de nombreuses années.

Fuites
Jusqu’ici, le rapport initial adressé au Congrès à propos des falsifications de Bush ne répond pas aux critères correspondant à une fuite. Seul Bush est accusé, les coupables du 11 Septembre sont encore en sûreté, leurs identités toujours protégées par les protocoles de sécurité maintenus par le président Obama, malgré les demandes du Congrès.
Les prétendues fuites rapportées par Sperry au Washington Post accusent Bandar et les services secrets d’Arabie Saoudite pour le 11 Septembre. Sperry cite la CIA comme source mais cela est fortement suspect ; il semble essayer de détourner ainsi les retombées possibles contre Israël quand (ou si) le vrai rapport est rendu public. L’histoire de Sperry, coordonnée avec les efforts de l’AIPAC pour étouffer la demande du Congrès en vue de déclassifier le rapport, pourrait bien indiquer que les renseignements israéliens, comme le note Khalezov, ont travaillé avec Bush pour organiser et exécuter le 11 Septembre.
Selon l’article de Press TV [10] :
« Cette semaine, les représentants du Congrès Stephen Lynch (démocrate du Massachusetts) et Walter Jones (républicain de la Caroline du Nord) ont demandé officiellement une résolution du Congrès pour que le président Obama rende public le Rapport d’enquête du Congrès déjà bien censuré sur le 11 Septembre. On venait juste d’autoriser les deux représentants à lire sous la clause de secret défense les 28 pages censurées du rapport qui en compte 800, qui n’avait pas été vu. Ce qui devient clair, c’est que le président Bush savait parfaitement que ni l’Afghanistan ni l’Irak n’étaient impliqués dans les évènements du 11 Septembre et que l’action militaire contre ces deux nations fut entreprise pour cacher l’engagement de son administration, engagement soutenu par les services secrets étrangers. Les représentants, alors qu’ils examinaient le rapport, arrivèrent à une partie intitulée “Sources spécifiques du soutien étranger”.
Une section de 28 pages y a été “charcutée” par la Maison Blanche sous les ordres personnels du président Bush. On estime que 5 à 10 000 mots ont été supprimés de cette section avec des lignes de petits points qui remplacent le texte, de page en page, sur le rapport original du Congrès. »
Il s’agit seulement de la plus récente des révélations que l’AIPAC ait réussi à faire supprimer en faisant pression sur le Congrès et ses puissants soutiens dans la presse. Ce qui est de plus en plus clair, c’est que les alliés de l’AIPAC à Washington ont eu accès au rapport non-censuré. Une administration entière, des hommes influents au Congrès comme au Pentagone, à la CIA, à la NSA et dans une douzaine d’autres organisations, connaissaient tous la teneur de ce qu’il y avait dans ce rapport. Ils ont tous menti à la Commission du 11 Septembre. Ils ont tous donné l’ordre de prendre des mesures pour supprimer les libertés personnelles dans le pays et d’aller massacrer des centaines de milliers de personnes dans le monde, d’en kidnapper et d’en torturer d’autres encore, et tout cela sur la base des mensonges.
Des pays furent virtuellement effacés de la carte, arbitrairement. On entend souvent la question : « Comment des milliers de gens ont-ils pu être impliqués dans une conspiration aussi abominable ? » Nous sommes maintenant prêts à répondre. Le temps est venu de poser la question.
Gordon Duff, 28 décembre 2013